Entretien du journal : la nouvelle : «L’Institut culturel et publicitaire de Pejhan est entré dans la 25ème année de son activité et durant cette période, il a réussi à inscrire son nom parmi les plus éminents de ce domaine».
- mardi, Jan 15 2019
Je commence l’entretien avec ce qui suit : L’Institut culturel et publicitaire de Pejhan est entré dans la 25ème année de son activité et durant cette période, il a réussi à s’imposer parmi les plus éminents dans ce domaine. Quel est le secret de votre succès et le succès de la collection sous votre direction ? Car, la réponse à cette question peut ouvrir la voie au succès de ceux qui travaillent comme vous dans les domaines de la culture et de la publicité.
Tout en disant : Bonjour, je vous remercie pour votre attention et votre bonne volonté et l’attention de votre journal de la Nouvelle du Sud par rapport à cet événement. Comme vous l’avez dit, l’Institut culturel-publicitaire de Pejhan est entré dans la 25ème année de son activité. Durant cette longue période, notre activité était pleine de bons et mauvais jours et bien sûr pleine de beaux événements inoubliables. Nous avons défini trois points idéaux dans les domaines provincial, national et international pour déterminer les lignes de la démarche stratégique de l’Institut de Pejhan et grâce à Dieu, la comparaison du point de départ et de la place où nous nous trouvons actuellement évoque un sentiment de satisfaction chez nous. Et nous en sommes fiers. L’un des secrets les plus importants de la réussite de l’Institut de Pejhan est la prévision, la planification et l’adoption d’une réponse adaptée à tout changement ou aux évolutions commerciales, sociales et culturelles. En faisant preuve de souplesse et en adoptant l’approche appropriée, à différents moments, nous avons modifié plusieurs fois l’ensemble des médias et outils de notre travail et après un certain temps, ces décisions se sont avérées correctes pour nous. Le choix de cette approche a eu pour résultat que cette collection était toujours montée sur les vagues des changements et elle était toujours prête à avancer intelligemment vers les objectifs prédéterminés au lieu d’être victime des vagues des changements et des évolutions. Bien entendu, le rôle du groupe de conseillers de l’Institut est assez « important et efficace ». L’Imâm Ali a déclaré : « Aucun accompagnement n’est plus solide que la consultation. » C’est pourquoi j’ai toujours mis l’accent sur la sélection et l’invitation d’une équipe de conseillers très expérimentés. L’utilisation des avis et des idées applicables des conseillers experts protège toujours une société économique contre les expériences difficiles et coûteuses. A mon avis, un autre facteur du succès de l’Institut, c’est le choix de collègues professionnels et responsables. Notre modèle mental dans le choix des collègues de « l’Institut de Pejhan » est que toute force placée sur l’organigramme doit être pleinement meilleure et éminente du point de vue moral et professionnel à son niveau organisationnel. Tout le temps et dans toutes les circonstances, j’ai adopté l’ajout d’une force créative et efficace au corps de la collection. J’ai constaté évidemment plusieurs fois que toute nouvelle force, si elle dispose de l’expertise, de la responsabilité et du positionnement dans la bonne place de l’Organisation, ajoute clairement une valeur ajoutée au système et à la marque. Actuellement, la famille de l’Institut de Pejhan possède plus de 100 membres du personnel dans ses bureaux intérieurs et étrangers et ce nombre est sans pareil pour un Institut culturel-publicitaire. Et ça, dans la situation actuelle où les collections et les sociétés économiques tendent à rapetisser.
Présentez les initiatives et les programmes les plus récents de l’Institut ?
Pejman Ziyaïyan a reçu « la médaille d’or » et « la lettre d’accréditation du directeur national compétent et la lettre d’adhésion à « la Fondation des figures permanentes de l’Iran » lui a été offerte…
La recherche et les études de marché sont constamment en cours dans l’Unité de recherche et du Développement du marché de « l’Institut de Pejhan ». D’après les statistiques scientifiques et officielles, d’ici 2020, le taux de l’utilisation de l’Internet par le public surpassera celle de la télévision et l’Internet deviendra le média le plus important pour le peuple du monde. Autrement dit, les années prochaines peuvent être qualifiées de « fin de l’âge d’or de la télévision ». A l’avenir, l’utilisation de la télévision ne sera limitée qu’à l’heure prévue, pendant les heures spéciales et uniquement pour regarder le programme considéré et à cette époque, les médias les plus efficaces et les plus importants qui influenceront sur l’opinion publique seront les réseaux sociaux. Avec l’équipe de conseillers et de collègues de l’Institut, nous sommes en train de terminer la conception et la rédaction d’un événement médiatique unique, qui, grâce à Dieu, sera présenté dans les années prochaines et sera largement diffusée au niveau national et international. L’objectif principal de ce média sera d’utiliser et de mettre en valeur les capacités d’information et de publicité du monde virtuel et des mobiles.
Compte tenu de votre expérience dans le domaine de la photographie, avez-vous effectué un nouveau travail sous forme de collection de photos ou de livres ?
L’esprit et le souci de tous les arts, surtout l’art de la photographie, sont toujours au cours dans « l’Institut de Pejhan ». Un peu plus tôt, j’ai publié le troisième volume de la collection de mes photos intitulé « Yad bad ! » (Puisse demeurer le souvenir !), sur le thème du portrait et du visage, grâce à un groupe de photographes célèbres iraniens dans la maison d’édition de l’Institut et nous l’avons diffusé sans aucune prévision financière. Dans le premier livre de la même série, intitulé « Bâd-é Sabâ » (Le vent de Saba), les photographes se penchent sur « la nature de l’Iran » et dans le second livre de cette série intitulée «Khalvatgozidéha» (Ceux qui ont choisi la solitude), les photos des « monuments historiques de l’Iran » couvrent l’espace de l’ouvrage. Mon livre, intitulé « Chiraz, le rêve coloré du territoire de Pars » qui contient la collection de mes photos de notre chère ville de Chiraz, est traduit en persan, anglais, allemand et français et a été publié à la quatrième et à la cinquième édition. Avant le nouvel an de cette année, à l’aéroport international de l’Imâm Khomeini, j’ai tenu une Exposition permanente de mes photos avec plus de 100 œuvres sur les sujets tels que la nature, les monuments historiques et les visages des nations iraniennes et cette exposition rend très attirant cet aéroport et transmet bien d’informations sur notre pays aux visiteurs et aux touristes étrangers. Pendant ce temps, les divers projets dans le domaine de la photographie ont été réalisés lors de certains de mes voyages à l’intérieur et à l’étranger et ces projets seront annoncés au public et à ceux qui s’intéressent aux arts.
Vous êtes récemment choisi en tant que le directeur compétent dans le pays. Dans quel festival, ce choix a été fait ? et quels facteurs ont influencé ce choix ?
« Le Forum mondial de la gestion» a défini la gestion de manière structurée et organisée afin d’examiner, de juger et de partager les expériences des directeurs nationaux réussis avec l’aide et le soutien de la Fondation européenne pour le développement de la gestion de EFMD . Les recherches et l’évaluation de ce Forum sont effectuées par une équipe d’experts internationaux et les principaux paramètres de cet arbitrage sont les dossiers de gestion, les recherches et les ouvrages publiés, la gestion stratégique et la direction des changements et des évolutions et après la tenue des sessions d’évaluation et d’arbitrage, la « Statue spéciale » et « le diplôme de gestion de la Fondation européenne pour le développement de la gestion de EFMD» m’ont été attribués.» Le but de la tenue de cette Forum est de transférer l’expérience et les connaissances des directeurs réussis et de présenter les dernières réalisations en matière de gestion en Iran et dans les pays développés.
D’après vous, quel rôle les Instituts culturels et publicitaires peuvent-ils jouer dans le développement culturel de la ville où ils sont situés ? Dans quelle mesure avez-vous prêté attention à ce rôle dans votre Institut et quelles mesures avez-vous prises à cet égard ?
La publicité est elle-même un outil de création de culture et toute publicité doit contenir plusieurs messages éducatifs et culturels en plus des informations. Nous avons utilisé des aéroports qui constituent l’un des médias publicitaires ayant plus d’interlocuteurs. Par exemple, seul le trafic annuel enregistré à l’aéroport international de Mehrabad équivaut à la moitié de la population iranienne, ce qui est un nombre très important. « L’Institut de Pejhan » a toujours pris des mesures pour réaliser le développement culturel en utilisant cette capacité stratégique, en organisant de diverses Expositions de photographie et d’arts visuels et en tentant de créer des marchés pour la vente des œuvres d’arts visuels nationaux dans les aéroports du pays. En outre, la mise en place de deux galeries, intitulées « les galeries nos 1 et 2 de Pejhan » et le soutien apporté à la présentation de groupes étrangers en Iran, reflètent nos activités passées dans le cadre de cette responsabilité sociale.
Dites ce à quoi vous pensez et ce dont vous voulez parler.
Etant donné aux événements qui affectent actuellement l’économie et le commerce de l’Iran, j’attire l’attention des amis et des grands propriétaires de l’industrie et du secteur manufacturier sur ce point qu’ils considèrent le marketing comme un chaînon perdu entre le secteur manufacturier et le consommateur, afin qu’ils puissent protéger leurs collections et leur personnel contre la crise créée, tout en utilisant des innovations du système de marketing. L’organisation de la marque et la consolidation de ses relations significatives avec le public constituent le meilleur outil de défense contre les crises économiques et commerciales. Cette stratégie aide une collection à dépasser sainement des grandes crises économiques.